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Quand les choses vont mal, quand des gens sont blessés, il y aura toujours quelqu’un qui demandera : « Où était Dieu ? Comment un Dieu aimant pourrait-il permettre qu’une telle chose se produise ? »
Dieu était là, à côté de nous ; il est là maintenant. Entendons-nous sa voix ? Il parle doucement, gentiment. Peut-être sommes-nous trop occupés pour l’écouter. Peut-être qu’il y a trop de bruit. Peut-être que nous n’aimons pas ce qu’il dit, alors nous le remettons en question. « Ça ne peut pas vraiment être Dieu. Pourquoi me demanderait-il une telle chose ? » Alors nous continuons à nous égarer.
Dieu veut ce qu’il y a de mieux pour nous. Le problème, c’est que son idée de ce qui est le mieux pour nous peut être très différente de ce que nous voulons. Nous vivons dans un monde brisé, un monde où le mal, les conflits, les tentations et le péché sont considérés comme normaux. Nos esprits ont été conditionnés à rechercher l’approbation du monde, à mesurer le succès comme le monde le mesure. Nous pensons que nous verrons les dangers et que nous pouvons les éviter. Nous sommes aveugles.
La douleur et la souffrance se produiront dans chaque vie. Elles ne sont pas une punition de Dieu, elles sont les conséquences du fait d’être des personnes brisées dans un monde brisé. Dieu nous parle dans ces moments-là, pour nous assurer de son amour pour nous et pour nous donner l’espoir et la force de continuer. Ces expériences peuvent nous aider à voir les choses telles qu’elles sont, à apprécier ce qui est important et à relâcher nos liens avec ce qui n’a pas de valeur durable. Sommes-nous à l’écoute ?
Élihu, dans le 33e chapitre du livre de Job, décrit les moyens que Dieu utilise pour nous avertir des dangers qui se trouvent sur notre chemin.
« Dieu parle cependant, tantôt d’une manière, tantôt d’une autre, et l’on n’y prend point garde. Il parle par des songes, par des visions nocturnes, quand les hommes sont livrés à un profond sommeil, quand ils sont endormis sur leur couche. Alors il leur donne des avertissements et met le sceau à ses instructions, afin de détourner l’homme du mal et de le préserver de l’orgueil, afin de garantir son âme de la fosse et sa vie des coups du glaive. »